Avec la canicule exceptionnelle de ces derniers jours et la fermeture temporaire de plusieurs établissements scolaires, nous avons ouvert les portes du siège… aux plus jeunes ! La Salle s'est transfo ...
Publié le 27/03/2012 à 02:00
Mais cette référence ne signifiait pas que le locataire l'avait signé en pleine connaissance de cause et renoncé au bénéfice de la loi de 1948.
En outre, les lieux ne répondaient pas aux critères de confort permettant la sortie de la loi de 1948.
L'arrêt est cassé au motif qu'un contrat de bail se référant à la loi du 6 juillet 1989 vaut renonciation de la part du locataire au bénéfice de la loi du 1er septembre 1948.
Il s'agit d'une jurisprudence classique.
Source: Cass. 3e civ., 7 mars 2012, n° 11-12.027, LexisNexis SA